16 novembre 2010
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J'ai réuni tous mes anciens chauffages détournés en lampes pour cette photo de famille afin de vous montrer comment ce “simple“ objet utilitaire a put prendre des formes aussi différentes et devenir un véritable objet décoratif. Bois, plastique, bakélite, alu, acier, cuivre, ces anciens chauffage, gaz ou électrique, avec ou sans ventilateur, furent fabriqués dans tous les matériaux.
Je trouve que ce sont de très beaux objets, et ca me fait vraiment plaisir de leur offrir une seconde vie en les transformant en lampes. Des lampes qui procurent un éclairage tout aussi particulier.
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LA VIE EN COMMUNAUTÉ
10 novembre 2010
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Cette drôle de petite lampe portative des années 40 était autrefois utilisée dans l'armée. Je me suis un peu renseigné, pour savoir à quoi elle servait, et des personnes m'ont dit que la petite ampoule placée en haut sous la cloche servait de balise pour les pistes d'atterrissage “sauvages“. Une info à vérifier ...
En tout cas, cette lampe est rigolote, et complète bien ma petite collection de lampe portative. Après l'avoir entièrement brossé pour faire apparaître le métal (je n'aime pas le kaki...), j'ai changé le système à accu et à pile pour une alimentation en 220 volts. Et j'ai rajouté un petit socle en vieux chêne massif.
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LES PORTATIVES
8 novembre 2010
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C'est un ami qui m'a ramené cet ancien phare Ducellier qui trainant depuis déjà pas mla d'années dans une grange à la campagne. Couvert de rouille, il n'était pas bien en forme. J'ai passé pas mal d'heures pour le nettoyer et enlever la couche de rouille et de peinture à la paille de fer. Je l'ai électrifié en 220 volts, et je lui ai fabriqué un pied articulé avec de grosse tiges de métal, bien solides et bien rigides, et des articulations d'un ancien outils de mécanique. A sa base, j'ai fixé un gros aimant industriel, tellement puissant que l'on peut se supendre avec (j'ai essayé, il ne se décolle pas, c'est incroyable).
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LES ANCIENS PHARES
8 novembre 2010
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17:59
Cet ancien et étrange chauffage ne doit vraiment pas être tout jeune puisqu'il fonctionne au gaz, et non pas à l'électricité.
Tout en cuivre, le réservoir de gaz fait aussi office de pied. Sur le devant, il y a un robinet, surement pour remplir le réservoir en gaz, et un petit manomètre pour vérifier la pression. J'ai enlevé le brûleur pour le remplacer, non sans difficulté, par une douille et une lampe. Comme l'écairage était trop direct, j'ai fixé devant l'ampoule un petit tamiseur d'intensité que j'ai fabriqué avec une pièce de coupe récupérée sur un vieux hachoir endommagé ( j'en avais déjà utilisé un sur une autre lampe et la lame de coupe est quand à elle fixée sur le socle d'une autre lampe). Come j'aime le dire, rien ne perd, tout se récupère...
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LES ANCIENS CHAUFFAGES
5 novembre 2010
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Toute en finesse et dotée de nombreuses articulations qui permettent de l'orienter dans toutes les directions, cette dernière création est une sorte d'hommage à l'industrie du textile de Troyes. En effet, c'est dans une ancienne usine de couture, près de Troyes, que j'ai déniché le petit abat jour, et son interrupteur rotatif intégré, ainsi que la pièce en métal dont je me suis servi comme socle et qui était fixé sur une ancienne machine à filer fabriquée à Troyes. A la base de cette lampe, j'ai fixé une rotule de pied d'appareil photo qui est une très belle pièce ( à mon gout) et qui ,en plus, permet un mouvement dans toutes les directions. Un peu de soudure, quelques articulations d'anciennes machines à coudre, un socle fabriqué avec de vieilles planches de parquert en chêne massif et bien patiné par le temps, et voilà le résultat. Ca vous plaît?
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LES ARTICULÉES
4 novembre 2010
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C'est un moteur Luxor, qui était fixé sur une ancienne machine à coudre, qui m'a servit de base pour la création de cette petite lampe articulée. Peinture abimée, nombreuses traces de rouille, quelques heures d'un minutieux brossage à la paille de fer lui ont redonné une seconde jeunesse. En souvenir de l'époque où il “travaillait" sur les machines à coudre, je lui ai associé un petit abat jour d'ancienne machine à coudre. J'ai fabriqué le bras articulé avec des pièces en métal récupérés ici et là, souvent dans la rue. Et comme je suis un adepte du recyclage et de la récupération, j'ai fabriqué le socle en bois avec de vielles planches de parquet en chêne massif récupérées dans une maison en ruine.
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LES MOTEURS
2 novembre 2010
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Look très industriel pour cette toute dernière lampes que j'ai crée à partir de différents objets récupérés ici et là. Tout est en métal, ou presque, puisque seul l'interrupteur rotatif placé en haut de l'abat jour n'est pas en métal, mais en bakélite. Je pense que vous reconnaitrez pas mal d'objets de récup que j'utilise régulièrement sur mes lampes : des articulations, assez rares avec leur belles molettes de réglage, qui proviennent d'un ancien outil de mécanique, des tiges en métal trouvées chez les récupérateurs de métaux, un abat jour d'une ancienne machine à coudre et bien évidement, un gros aimant industriel des années 50 que j'adore pour leur look et surtout parce qu'ils permettent de fixer la lampe solidement sur n'importe quelle surface en métal. Après de nombreuses heures pour trouver les solutions techniques et esthétiques pour réussir à assembler tous ces élements, voilà le résultat. Une lampe que j'aime bien car malgrè son aspect et son architecture très industrielle, sa forme fine et élégante lui donne beaucoup d'allure.
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LES AIMANTÉES
29 octobre 2010
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Cette lampe, je l'ai créé avec différentes pièces récupérés sur des anciennes lampes d'atelier. Trouvées en mauvais état, ces pièces ont été entièrement et minutieusement nettoyé et brossées par mes soins pour faire apparaître le métal. J'ai fixé l'ensemble sur un isolateur EDF en verre et en métal, bien lourd et bien stable.
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LES ISOLATEURS
28 octobre 2010
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16:41
A chacune de mes visites dans d'anciens ateliers de mécanique et de couture, je ramène toujours quelques pièces d'anciennes lampes endommagées. C'est avec différents morceaux récupérés dans des ateliers de couture que j'ai crée celle ci. La pièce qui fait la laison entre les 2 bras est d'ailleurs siglée de la marque Pfaff connue pour ses machines à coudre industrielles. L'assemblage de toutes ses pièces à donné cette lampe, un peu bizarre et compliquée, mais que je trouve aérienne et élégante avec son tube coudé et son tout petit abat jour. Les deux tubes coulissent dans lesdeux bras, ce qui permet de modifier leurs longueurs. Je l'ai fixée sur un socle que j'ai fabriqué avec une épaisse tôle d'acier et des planches de parquets en chêne massif que j'ai trouvé dans la rue.
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LES INCLASSABLES
27 octobre 2010
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15:43
Avant que je ne l'utiise pour la création d'une lampe, cette drôle de pièce trainait dans un recoin d'un atelier de mécanique. Je n'ai jamais su à quoi elle servait, mais j'ai tout de suite vu que sa forme et son design curieux, à la fois industrielle et réro, en ferait un parfait réflecteur de lampe. Je l'ai entièrement brossé, pour faire apparaître le métal, et j'y ai adapté une douille et une patte de fixation. Le bras articulée a été récupéré sur une ancienne machine à coudre industrielle. Tout comme pour le réflecteur, je l'ai entièrement et minutieusement brossé à la main pour faire apparaîre le métal caché par uen épaisse couche de peinture, la fameuse “vert martelé“. Ce bras est articulée en 2 points, ce qui permet de positionner la lampe dans toutes directions et le fil électrique passe à l'intérieur. Pour le socle, j'ai opté pour l'un de mes isolateur EDF dont le verre se marie à la perfection avec le métal du bras et du réflecteur.
Eclairée, cette lampe émet une lumière très particulière et très originale.
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LES ISOLATEURS